Qui suis-je ?

Nous vivons tous des moments de doutes, des remises en question. Puis il y a des prises de conscience, des moments clé plus forts que d’autres.

L’un de ces moments a été pour moi la lecture de « Je pense trop » de Christel Petitcolin. Comprendre que j’étais surefficiente et hypersensible, un être différent mais ayant le droit d’exister sur cette planète. Tant de choses ont pris du sens, d’un seul coup !

Après toutes ces années à me sentir « fausse », « à côté », « mauvaise », « pas à ma place », « pas normale », « torturée », « compliquée », « folle », oui jusqu’à « schizophrène », « bipolaire »… je trouvais des réponses. Enfin.

Quelle douleur de se sentir incomprise, de vouloir être quelqu’un d’autre à tout prix, parce que c’est le prix à payer pour survivre, pour trouver une place ici.

Cette lecture était donc le début. D’une autre vie. D’une vie de « j’ai le droit », de « pourquoi pas moi », de « si je me foutais un peu la paix ».

Pourquoi subir, moi ? De dîner dans un restaurant bruyant, de rester assise sous la clim, face à une lumière agressive ? De porter des vêtements inconfortables, qui piquent, qui grattent ou qui font mal ? De m’adapter, encore et encore ?

Comment ?

Alors… il suffit de ? Pas tout à fait. Depuis petite fille, j’espère un badaboum, une crise, un ultime craquage, une prise de conscience, un tilt. LE tilt, vous voyez ???

J’ai compris que cela ne fonctionnait pas comme je l’aurais aimé, mais j’ai évolué, petit à petit.

Mon développement personnel, mes prises de conscience et mes expériences m’ont menés vers des choix plus cohérents, une meilleure compréhension de moi et du monde qui m’entoure. J’ai trouvé mon chemin, un fil conducteur. Je suis passée de l’opportunisme aux choix de vie. J’ai appris à canaliser mon mental, à m’écouter, à être bienveillante et juste vis-à-vis de moi-même.

Pas tout le temps ! Car finalement je ne suis qu’un être humain, imparfait, comme les autres…

Nathalie Haberstroh Qui Suis Je

Qui suis-je ?

Nous vivons tous des moments de doutes, des remises en question. Puis il y a des prises de conscience, des moments clé plus forts que d’autres.

L’un de ces moments a été pour moi la lecture de « Je pense trop » de Christel Petitcolin. Comprendre que j’étais surefficiente et hypersensible, un être différent mais ayant le droit d’exister sur cette planète. Tant de choses ont pris du sens, d’un seul coup !

Après toutes ces années à me sentir « fausse », « à côté », « mauvaise », « pas à ma place », « pas normale », « torturée », « compliquée », « folle », oui jusqu’à « schizophrène », « bipolaire »… je trouvais des réponses. Enfin.

Quelle douleur de se sentir incomprise, de vouloir être quelqu’un d’autre à tout prix, parce que c’est le prix à payer pour survivre, pour trouver une place ici.

Cette lecture était donc le début. D’une autre vie. D’une vie de « j’ai le droit », de « pourquoi pas moi », de « si je me foutais un peu la paix ».

Pourquoi subir, moi ? De dîner dans un restaurant bruyant, de rester assise sous la clim, face à une lumière agressive ? De porter des vêtements inconfortables, qui piquent, qui grattent ou qui font mal ? De m’adapter, encore et encore ?

Comment ?

Alors… il suffit de ? Pas tout à fait. Depuis petite fille, j’espère un badaboum, une crise, un ultime craquage, une prise de conscience, un tilt. LE tilt, vous voyez ???

J’ai compris que cela ne fonctionnait pas comme je l’aurais aimé, mais j’ai évolué, petit à petit.

Mon développement personnel, mes prises de conscience et mes expériences m’ont menés vers des choix plus cohérents, une meilleure compréhension de moi et du monde qui m’entoure. J’ai trouvé mon chemin, un fil conducteur. Je suis passée de l’opportunisme aux choix de vie. J’ai appris à canaliser mon mental, à m’écouter, à être bienveillante et juste vis-à-vis de moi-même.

Pas tout le temps ! Car finalement je ne suis qu’un être humain, imparfait, comme les autres…